LEVÉE DE FONDS
Protégeons nos enfants

Notre équipe analyse des dossiers dans lesquels l’État belge bafoue les droits de l’enfant et de la mère dans un contexte de suspicions de violences sexuelles sur l’enfant commises par le père (dans nos dossiers, les auteurs de violences sexuelles sont majoritairement des hommes, néanmoins, ce type de violence peut également être commise par des femmes).

Dans ces dossiers, l’enfant est lourdement sanctionné.

Généralement âgé entre 3 ans et 7 ans, l’enfant témoigne des violences sexuelles. Il peut y avoir jusqu’à 4 professionnels qui étayent les violences sexuelles sur l’enfant (rapport psychologique, rapport médico-légal,…).

Malgré ces éléments, la parole de l’enfant n’est absolument pas prise en compte. Dans nos dossiers, il s’avère que :

  • De nombreux intervenants psycho-sociaux et judiciaires privilégient l’hypothèse selon laquelle l’enfant serait instrumentalisé par sa mère (théorie de l’aliénation parentale) pour nuire au père, au mépris des éléments factuels.
    7
  • La mère se voit étiquetée de « toxique », alors qu’aucun fait ne vient objectiver cette toxicité.
    7
  • La présomption d’innocence en faveur du père prévaut sur le principe de précaution qui voudrait que l’enfant soit avant tout préservé de tout risque d’atteinte à son intégrité physique et psychique.
    7
  • Non seulement l’enfant ne reçoit pas la protection et les soins appropriés, mais il se retrouve séparé de sa mère pour vivre chez son père ou en institution.7

     

  • L’enfant fait l’objet de mesures institutionnelles punitives qui le réduisent au silence.

Cela doit cesser !

Avec votre soutien financier, nous serons en mesure de lancer des démarches judiciaires pour faire protéger ces enfants.

Il est temps que l’État belge et ses institutions soient contraints de construire des balises légales et institutionnelles solides pour mettre fin au déni généralisé portant sur les violences sexuelles perpétrées sur les enfants.

NOS MEMBRES

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En communication « Soutien IEDB » 

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À QUOI SERVIRONT VOS DONS ?

Soutenir Salomé

OBJECTIF N°1

Se constituer partie civile pour soutenir « Salomé ».

L’équipe de Innocence en danger Belgique (IEDB) veut se porter partie civile dans un premier dossier nommé « Salomé » (nom d’emprunt), qui concerne une fille âgée de 5 ans séparée de sa mère dans un contexte de suspicions de maltraitances sexuelles commises par le père.

PREMIER PALIER : 3000 €

  • Synthétiser plus de 400 pages de dossier
  • Relever les éléments qui bafouent les droits
    de l’enfant et de la mère
  • Relever les éléments qui étayent les violences sexuelles sur l’enfant
  • Se constituer partie civile au pénal

DEUXIÈME PALIER : 2500 €

  • Demander des devoirs d’enquête et préparer
    le plaidoyer pour la 1 ère audience.

OBJECTIF N°2

Aller au pénal pour faire cesser les violences institutionnelles d’un service résidentiel d’enfants placés en observation.

L’équipe de Innocence en danger a reçu 4 signalements de parents concernant le même service résidentiel d’observation et d’orientation (SROO). Il apparaît que suite aux rapports réalisés par le SROO, les mères perdent systématiquement la garde de leur enfant car elles ne seraient pas en capacité d’élever leur enfant.


L’équipe de IEDB a analysé les rapports du SROO concernant deux mères. Compte tenu qu’il n’y a aucun élément factuel qui objective l’incapacité à élever son enfant, l’équipe considère que le SROO déroge aux droits de l’enfant et devra répondre de ses actes en justice.

Pour en savoir plus, participez à une animation :

PREMIER PALIER : 3000 €

  • Étude comparative des dossiers des mères qui ont perdu la garde de leur enfant suite à l’intervention du SROO
  • Se constituer partie civile au pénal

DEUXIÈME PALIER : 2500 €

  • Demander des devoirs d’enquête et préparer le plaidoyer pour la 1 ère audience