Balance ton EVRAS quand elle dérape !
Quatre signalements préoccupants ont été effectués par des parents et un professeur. Selon les témoignages concordants d’élèves âgés de 12 à 15 ans, corroborés par un enseignant, un opérateur EVRAS met à disposition des préservatifs et des lubrifiants à des enfants dès l’âge de 11 ans, lors de permanences dans l’école.
Sous couvert de prévention, cette pratique envoie un message ambigu et inapproprié à des enfants en pleine construction psychologique. Offrir des préservatifs et des lubrifiants est une incitation implicite à envisager des rapports sexuels, ce qui est contraire à l’objectif même d’une éducation
bienveillante et adaptée.
Pourquoi ces pratiques sont-elles graves ?
1. Atteinte à la neutralité de l’enseignement
L’article 24 de la Constitution belge garantit un enseignement respectant la diversité des valeurs et des sensibilités. Cet opérateur EVRAS impose une idéologie sexualisante qui n’a pas sa place dans une école.
2. Violation des droits parentaux
Les parents sont les premiers responsables de l’éducation sexuelle de leurs enfants. En contournant leur rôle, ces pratiques heurtent leur autorité et leurs convictions.
3. Risque pour l’intégrité psychologique des enfants
Exposer de jeunes élèves à des pratiques liés à la sexualité est une atteinte à sa dignité et peut générer confusion, stress et malaises psychologiques.